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au carnaval tout le monde est jeune, même les vieillards accueil autocollants des liens vers des photographies de bal et carnaval agenda general 2016 des bandes de carnaval ,bals ,et carnaval et bals enfantins bals , et bandes enfantines 2016 bande et carnaval en france carnaval 2017 carnaval en allemagne carnaval en belgique en italie et bandes 2016 dans le nord pas de calais et archives des affiches cartes postales des chansons chants musiques de histoire des et bals des enfants les badges des confreries carnavalesque les dates des bals , nuits, repas dansant 2016 et autres … les origines du carnaval archives: choisir un mois catégories pas de catégorie accueil > les origines du carnaval les origines du carnaval carnaval depuis très longtemps le carnaval existe , on en trouve la trace en egypte d’abord, puis en grèce et en italie, dans toute l’europe ensuite, des festivités étaient organisées à l’approche du printemps. le déguisement, la danse, le festin faisaient partie des réjouissances. tout cela était l’ancêtre du carnaval. le carnaval est surtout le temps de la mascarade. les masques, les maquillages et les tatouages étaient employés à des fins magiques ou religieuses. le carnaval est l’ensemble des festivités qui ont lieu dans des lieux aux alentours de mardi gras. on distingue : les bandes : les carnavaleux défilent dans les rues derrière la musique (la « clique »), conduite par un tambour-major. les bals : les carnavaleux se retrouvent la nuit, dans les grandes salles de l’agglomération, pour faire la fête en mêlant chansons carnavalesques, à la musique contemporaine et tout ça au profit d’associations (les corsaires…). c’est aussi à cette période que l’on peut entendre parler le patois le picard une des langues parlée dans les régions nord , la langue flamande et le « chti » ou « chtimi de façon très appuyée. origines du carnaval. les origines du carnaval remontent au début du xvii e siècle. les armateurs offraient aux marins-pêcheurs, avant de partir pour 6 mois de pêche à la morue en islande, un repas et une fête (la « foye »), ainsi que la moitié de leur solde. beaucoup d’entre eux ne revenaient pas toucher l’autre moitié (perdus en mer, naufrage, …) laissant femmes et enfants sans rien au courghain. de la foye naîtra la « visschersbende » (bande des pêcheurs en flamand). elle se déroulait à l’origine entre le lundi gras et le mercredi des cendres marquant le début du carême, ce qu’on appelle les 3 joyeuses. le premier document officiel connu parlant de ces festivités est une ordonnance du magistrat de dunkerque datée du 16 janvier 1676 qui réglementait les festivités. il existait également jadis à dunkerque une autre très grande fête aujourd’hui oubliée : les folies. par certains aspects : déguisements, notamment en sauvages, travestissement, géant, elle paraît préfigurer l’actuel carnaval de dunkerque. elle avait lieu en été, le 24 juin, jour de la saint jean. la charte du carnaval. depuis plusieurs années, la popularisation du carnaval pose problème. certes l’afflux supplémentaire de spectateurs et de carnavaleux « initiés » permet d’augmenter les recettes commerciales et l’esprit de confraternité (« plus on est de fous, plus on rit »). mais l’événement attire également des carnavaleux « novices » qui nuisent (volontairement ou non) au déroulement du carnaval car ils ne connaissent pas les règles induites de celui-ci : règles générales : le carnaval de dunkerque ,comme les autres sont avant tout un carnaval, ce qui signifie que tout carnavaleux doit être un minimum déguisé, maquillé ou masqué pour pouvoir faire la bande ou le bal. les musiques du carnaval sont la base de celui-ci, il est donc préférable de les connaitre, notamment l’hommage au cô et la cantate à jean bart qui sont réellement sacrées pour les carnavaleux de dunkerque . il n’y a pas une façon de faire le carnaval mais plusieurs : dans la bande, dans les bars, dans les chapelles, devant la musique, derrière la bande,…ou un mélange de tout cela. alcoolémie : le carnaval n’est pas un concours d’alcoolémie. les boissons alcoolisées (bières, diabolo flamand, punch, rosé, champagne(aux bals)) sont en vente mais ce n’est pas une raison pour finir en coma éthylique. la majorité des personnes formant la bande n’est pas saoule, un carnavaleux trop éméché ne doit pas s’insérer dans une « ligne » en croyant que ceux qui sont à ses côtés sont dans le même état que lui, c’est faux et dangereux pour tous. tant dans un bal que dans la bande les bouteilles en verre sont interdites, si elles cassent elles risquent de blesser plusieurs personnes. de plus, notamment lors des bals, il est fort désagréable de marcher sur du verre pendant des heures. dans la bande : la base de la bande c’est la « ligne ». lorsque la bande défile dans les rues, cela correspond à un alignement de carnavaleux qui occupe grosso-modo la largeur de la chaussée. lorsque la bande est au rigodon ou lors d’un bal, la ligne correspond au rayon entre le kiosque (ou l’élément central) et les obstacles extérieurs (arbres, scène, spectateurs…). pour la réussite des chahuts et la sécurité de chacun, les lignes doivent être entières , c’est-à-dire qu’elles doivent s’étendre sur toute la largeur et les carnavaleux qui la compose, doivent se tenir « encouder » même si on ne connait pas son voisin de gauche ou de droite. on distingue les « premières lignes » qui ont pour objectif de retenir la bande alors que les autres « lignes » ont pour objectif de pousser. les « premières lignes » ne sont généralement pas accessibles aux novices en raison de leur importance capitale (si elles s’écroulent pendant un chahut, les autres lignes s’effondrent également). lorsque les fifres jouent, la bande avance tranquillement, il ne faut pas pousser les personnes devant soi. lorsqu’un chahut se termine, les fifres reprennent directement, cependant en raison de la « décompression », il est probable que les « lignes » reculent, il faut alors également reculer si nécessaire et ainsi ne pas entraver le mouvement global, puis repartir vers l’avant. lorsque les fifres s’arrêtent et que le reste de la musique se met à jouer, il y a un chahut. cependant, on pousse en « ligne », c’est-à-dire avec le torse (en étant toujours accroché avec son camarade de gauche et celui de droite) et non en poussant avec les mains dans le dos du carnavaleux de devant. la seule zone où les carnavaleux ne doivent pas se trouver, c’est entre les musiciens et la « première ligne ». on ne sort pas de la bande en plein chahut , c’est totalement impossible, il faut attendre la fin d’un chahut et crier « sortie », puis sortir du côté le plus court lors d’une bande, et du côté extérieur lors d’un rigodon/bal. lorsqu’une personne crie « sortie » devant un carnavaleux, il convient de la laisser sortir en retenant les carnavaleux qui poussent derrière soi. si une personne crie « sortie » sur l’un des côtés, le carnavaleux libère son bras dès que possible et une fois la personne partie s’accroche à un autre carnavaleux de la même ligne. si un carnavaleux tombe dans la bande, il ne doit pas tenter de s’accrocher au carnavaleux devant lui (il risque au mieux de l’entraîner dans sa chute). lorsqu’une ou plusieurs personnes tombent, les carnavaleux autour d’eux crient « chute », t ous ceux autour des personnes tombées retiennent alors les lignes devant ou derrière elles pour éviter que d’autres tombent. les carnavaleux les plus proches doivent relever les personnes tombées le plus rapidement possible. le risque de chute est diminué si les carnavaleux sont bien accrochés. le port de chaussure de sécurité est conseillé, en raison de la proximité des jambes lors des chahuts, il arrive très fréquemment de se faire marcher sur les pieds. par contre, il faut éviter au maximum de donner des coups dans les jambes. dans les bals : pour éviter à la fin du bal de marcher dans le verre et le plastique, les carnavaleux doivent ramener leur verre, leur coupe ou leur bouteille dans un des bars. po